Living in Belgium , ex- expats Congo borned Kolwezi, staying there all chilhood untill 21 years , members Lions Club , Retriever Club,Cap 48
My 2 great - fathers was Belgian but one from Wallonia the other from Flanders . Passion Retriever, having 2 golden, one cat blue, Member Lions Club ,retriever club
Un reportage photo valorise les villages Bikoro et Bokonda
Crédit Willocq P jeunes gens et jeunes garçons posant devant une case .
Patrick Willocq français né en 1969 à Strasbourg . Il a vécu hors du territoire français pendant 23 ans Asie et
a passé 7 ans sept années en RDC.
Photographe autodidacte, il a commencé à diffuser son travail depuis deux ans.
Les villages de Bikoro et Bokonda dans la province de l’Equateur ont été valorisés dans ce reportage photographique intitulé «Sur la route de Bikoro à Bokonda». L’oeuvre signé par Patrick Willocq a connu son vernissage le week-end dernier à la halle de la Gombe.
Ses photographies ont a été publiées dans la revue Magazine Photo en 2009 et 2010.
Il organise aussi des voyages dans cette région. Entre Bikoro, bourgade située sur les berges du lac Tumba en Rd-Congo, et Bokonda, à quelques kilomètres de là, Patrick Willocq retrace la vie des communautés Bantous et Batwas -pygmées.
Ph crédit Willocq Patrick
Une scène d’une leçon donnée dans une salle de classe en plein air
Photo 1 : Une scène d’une leçon donnée dans une salle de classe en plein air Photo
En faisant le parcours de Bikoro à Bokonda, l’auteur a voulu illustrer des thèmes variés de leurs réalités quotidiennes comme l’éducation, la religion, les relations interpersonnelles, particulièrement celles entre hommes et femmes mais aussi la mondialisation. Bref, il a mis en exergue la culture de ces peuples du nord-ouest de la Rd-Congo. Patrick Willocq reconnait que ces images ont été réalisées avec le concours non-négligeable des villageois.
Il connaît bien ces villageois, acteurs très complices de sa démarche, car parallèlement à ses activités photographiques, Willocq organise aussi dans cette région des expéditions à la découverte de «l’autre et de soi-même».
Site de Patrick Willocq trois thèmes http://patrickwillocq.com/congo
-On the road from Bikoro to Bokonda
-Old colonial villas of Mbandaka
-Entre Ntomba e tEkonda Femmes et maternité ("wale")
Sur la route de Bikoro à Bokonda” est un témoignage du quotidien des villages Bantous et pygmées Batwas
de la province de l’Équateur en RDC
Il mets en scène les villageois devant leur case et ainsi, le décor apparait comme théâtral.
Il a une vision très personnelle des relations humaines et de la place de la femme et de l’homme
dans ces villages ; du rôle de la forêt, véritable cœur nourricier mais qui subit la pression quotidienne
des villageois ; et des coutumes encore bien ancrées mais qui parfois disparaissent en faveur d’outils et
de comportements plus occidentalisés.
Patrick Willock a grandi dans ce pays. Ce projet est né à la suite de plusieurs voyages effectués dans
une dizaine de villages où il a toujours été frappé par la beauté, la simplicité et la dignité de ce
quotidien malgré toutes les difficultés journalières auxquelles font face les villageois.
Une toute autre réalité que celle du Congo de l’Est. Réalité sur laquelle les médias occidentaux
se focalisent et qui, bien que dramatique, stigmatise l’ensemble du pays. Le film reportage a été sélectionné par différents festivals internationaux et a remporté le 1er prix photo de l’agence Française de Développement en décembre de l’année dernière. «Les scènes imaginées par Patrick Willocq et jouées par des villageois déterminés à l’aventure sont parfaitement maîtrisées. Les couleurs, la composition, les attitudes des acteurs, servent toujours de propos. Ce n’est pas de l’esthétisme pour l’esthétisme, de la couleur pour la couleur, de la manipulation pour la manipulation. Patrick adopte une démarche qui se situe entre le documentaire et une approche plasticienne au service d’un propos sociologique assumé. Il renouvelle le genre, a déclaré le président du jury du prix photo de l’agence Française de développement 2012,
Il a commencé une seconde série
sur les anciennes villas coloniales de Bandakwa et aussi sur les femmes pygmées Walé sur la fécondité de
la femme reportage artistique.
La chaîne volcanique des Virunga abrite huits volcans ; le Muhavura (4127 m.), le Mgahinga (3474 m.), le Sabinyo (3634 m.), le Visoke (3711 m.), le Mikeno (4437 m.), le Karisimbi (4507 m.), le Nyamuragira (3058 m.) et le Nyiragongo - "celui qui fume" (3470 m.). Exception faite du Nyamuragira, qui est un volcan-bouclier, tous les autres sont des stratovolcans. Travel Photo MondayMosaic Monday
On the East rim of Nyiragongo's crater, where the Observatoire Volcanologique de Goma maintains a weather station powered by solar cells. On the right of the crater rim, Virunga volcanoes Mikeno (4432m.a.s.l.) and Karisimbi (4506m.a.s.l.) at the horizon.
Le Nyiragongo est un stratovolcan Région/Pays : Chaîne des Virunga / R.D. du Congo
Lat./Long. : 1.52 S/29.25 E Alt. : 3469 m Ce majestueux stratovolcan aux pentes raides s’élève au sud-est du
volcan Nyamuragira dans la chaîne de montagne duVirunga, "qui fait partie de la vallée du Rift" à 18 km nord la ville de Goma ( RDC démocratique du Congo )et du Lac Kivu et à l'ouest de la frontière avec le Rwanda
Il recouvre partiellement deux autres strato-volcans basaltique plus anciens (Baruta
et Shaheru) et ses flancs sont criblés de cônes adventifs alignés le
long des zones de faiblesses du volcan (ex : fissure NE-SO). Son cratère
sommital, profond de plusieurs centaines de mètres, mesure 1,2 Km de
diamètre.
Il abrite régulièrement un lac de lave dont les variations de
niveau ont formé de nombreuses terrasses. ( formé de couches stratifiées de laves ou de laves et de cendres). Ce volcan n'est pas très connu par les scientifiques et historiquement. De par sa proximité avec des zones densément peuplées, Goma peuplée de plus d'un million
d'habitant.Il y eu des éruptions fréquentes en1977 une fissure dans les parois du cratère vidangea le lac de lave
sous forme de coulées très fluides, extrêmement chaudes et rapides .
la lave dévala la montagne à plus de 60 miles à l'heure, le plus rapide jamais observée faisant 300 morts des villages en contrebas, tués, surpris par la vitesse du phénomène et la dernière en mai 2002, détruisit tout sur son flanc sud. Ce volcan avait tiré plus de 15 millions de mètres cubes de lave en
centre-ville détruisant 14.000 maisons, enfouissant des bâtiments
au sommet du premier étage, et en forçant les citoyens 350.000 à fuir.il a déclenché une véritable crise humanitaire car les coulées sont
descendues jusque dans la ville de Goma et ses environs.
Des centaines
de milliers de réfugiés se trouvent dans cette région suite aux guerres
interethniques de ces dernières années. De ce fait, 500 000 personnes
ont été obligées de fuir. Les experts avait trouvé inquiétant le temps
de refroidissement de la lave à Goma lors de la derniére éruption- signe d'un possible
regain d'activité volcanique.
Cette région des Virunga est donc constituée d’une chaine de huit volcans dont deux sont actifs,le Nyiragongo et leNyamulagira click ICI, tandis que six autres sont endormis, à savoir: en RDC le Volcan Sabinyo , le Visoke Muhabura en République du Rwanda les deux Volcans Gahinga ,leVolcan Mikeno et Karisimbi a cheval entre le Rwanda et la RDC .
R.Roscoe, M.Rietze, M. Fulle, T.Pfeiffer, N.Fischer Nyamuragia volcan RDC ICI AUTRES PHOTOSNyamuragia 2012 second volcan atif RDC Voir ici
Le volcan Nyamulagira est devenu très actif à cause d’un lac de lave permanent. Les dimensions de celui-ci dépasse actuellement de loin celles du volcan Nyiragongo longtemps considéré comme le lac de lave le plus géant du globe. Ce lac de lave émet plusieurs tonnes de dioxyde de soufre (SO2) qui contribuent à la destruction des écosystèmes. La variation permanente du niveau du lac de lave témoigne d’un remplissage progressif du cratère. http://www.ovggoma.org/ .
Le Nyiragongo est un des volcans les plus actifs et dangereux d'Afrique avec une éruption tout les deux ou trois an.
Les Nations Unies ont mis en place un Projet pour l'analyse et la prévention des risques liés à lui, Un programme d'appui de l'Observatoire Volcanologique dans la surveillance
et l'étude de ce volcan. avec un volet d'éducation et d'information en faveur
de la population instruit et,chapeauté
par les pouvoirs publics, mais associant pleinement la population,
les écoles, les églises, les ONG et les agences
des Nations unies aété mis en œuvre. à Goma .
Cet endroit est dangereux ,
affirmait Dario Tedesco, un volcanologue italien. sa
colonne de roche en fusion de près de 3000 mètres
de hauteur et le lac de lave qui le couronne. La région
est soumise à de fréquentes secousses
sismiques(magnitude de
plus de 5 sur l'échelle de Richter.la derniére fois) qui peuvent à tout instant déstabiliser
les poches de méthane et de dioxyde de carbone situées
sous le lac Kivu, ce qui entraînerait des explosions
catastrophiques.
En plus coeur d'une zone de conflit où s'affrontent
les armées et des groupes armés d'au moins six
pays, y compris le Rwanda voisin.
volcans des plus actif de la planète mais aussi des moins étudiés car peu
de recherches ces
20 dernières années,du a une guerre presque
constante encore actuellement les massacres au Rwanda
Il a aussi été vivement déconseillé de rebâtir sur le site mais la population locale sait en effet parfaitement le danger
que représentent le volcan, les failles, les gaz. une éruption majeure pourrait le libérer du dioxyde de carbone et le méthane(sou le Lac Kivu ) répandant un nuage mortel à travers Goma .
Elle
ressent régulièrement les secousses qui ébranlent
le secteur et craint pour sa sécurité physique. Mais Goma lui offre en compensation une sécurité
économique qui fait cruellement défaut dans
la région, aussi ne quittera-t-elle pas la ville sans
une solide alternative à cet égard.d’après des responsables du PAM.
Le volcan composé de matériaux
volcaniques comme magma et les gaz volcaniques (vapeur d'eau, CO 2, SO 2 et H 2 S) ne sont pas distribués au hasard sur la terre, mais se
trouvent principalement sur les bords des plaques tectoniques et autour
des dorsales médio-océaniques.
Les tuyaux de cratères sont en communication avec une chambre de magma, plus profond dans la croûte terrestre.et font cracher la couche de roche volcanique. La
pression dans la chambre magmatique continue d'augmenter, jusqu'à ce
que cette pression est supérieure à la que la roche volcanique
dans le
cratère pression
Le magma peut également trouver un moyen de sortir par le biais d'une succursale de la conduite du cratère. Dans ce cas, l'éruption ne pas trouver la place du vieux cratère, mais il y aura un nouveau cratère crée.
Lors d'une éruption, le magma est poussé vers le haut à travers le tuyau du long cratère Une fois que le magma arrive à la surface de la terre est,on a la lave et toutes sortes de gaz A ce moment,là la lave a une température entre 650 ° C et 1200 ° C.avant de se solidifier en roches volcaniques.
Le cratére se rebouche La chambre de magma peut à nouveau être remplie de magma ,
jusqu'à ce queil y ai suffisamment de pression pour recommencer une nouvelle éruption ; A chaque éruption volcanique on a une couche de roche volcanique au-dessus de la couche précédente, ce qui donne une montagne
précédant une éruption volcanique, de plus en plus magma s'accumule dans la chambre .
Un nuage de cendres volcaniques du volcan en éruption peut se former,ces nuages de cendres sont principalement observées dans la phase initiale d'une éruption volcanique.Lors
d'une éruption volcanique dure plus longtemps, le nuage de cendres
disparait souvent bien avant les arrêts de coulées de lave.
Il y a plusieurs types d'éruptions volcaniques:
Lorsque le magma est liquide et contient peu de gaz dissous, l'éruption se poursuit très calmement.
Mais lorsque le magma est beaucoup moins liquide et contient de
nombreux gaz dissous, l'éruption du volcan sera souvent accompagnée d' explosions de roche volcanique et des cendres propulsé dans l'air.
Hawaiian type Lave très fluide à la surface avec peu de gaz . Cette lave liquide s'écoule assez rapidement Il y a aussi les éruptions phréatiques fonctionnent souvent très violemment. L'eau qui coule dans le tuyau cratère explose en vapeur. En raison d'un refroidissement rapide du magma dans l'eau, les fragments de magma en volent comme de petits éclats de verre
Type Stromboliéruptions irrégulieres et accompagneés par des explosions.
Vulcanotype Éruptions
du volcan de ce type sont plus sévères que celles du type de Stromboli et
produisent à côté d'une coulée de lave des roches de lave et de cendres
très fragmentés. Le nuage de cendres au-dessus d'un volcan en éruption peut être 10-20 km d'altitude. La cendre volcanique est ensuite dispersée par le vent en surface
Type plinian
Eruptions puissantes avec, roche volcanique, des cendres et de gaz à des vitesses allant
jusqu'à plusieurs centaines de mètres par seconde propulsé dans la
stratosphère à une altitude pouvant atteindre jusqu'à 45 km et associe a des gazs chauds mortels.
Cratére du Nyiragongo
A 3470 m de haut ce stratovolcan Nyiragongo est l'un des huit volcans du Virunga, Actuellement, avec environ 1 km de large du cratèreon a un lac de lave.
BBC Earth - Lava
En
Juin 2010, une équipe de scientifiques et d'explorateurs intrépides firent une expédition. Le
photographe Olivier Grunewald photographia à moins d'un mètre du lac Ilnous donne un aperçu unique de la matière en fusion.
La vue depuis le bord du volcan, 11,380 pieds au-dessus du sol. À 1.300 mètres de profondeur, le lac de lave a créé l'une des merveilles du continent africain.
Le volcan Nyiragongo, dix ans après son éruption .
Le volcan produit constamment une grande quantité
de dioxyde de souffre, ce qui entraine des problèmes
respiratoires parmi les populations locales et augmente le
risque de pluies acides dans la région.
Ces dernières années,
le niveau de lave dans le cratère du Mont Nyiragongo s’est
élevé de 350 mètres, signe d’une menace potentielle et donc mise en place d'un réseau de surveillance en permanence ce volcan via l'Unité de Gestion des Risques Volcaniques et Environnementaux"crée en crée en 2007 afin d’appuyer l’ Observatoire Volcanologique de Goma ,
Travail d'équipe et de longue haleine, des hélicoptères à la disposition des volcanologues ar exemple par la Monusco.
Ce projet de 2 100 000 dollars américains est financé par l’Union Européenne et la Coopération suisse.
To see more of Carsten Peter’s work click here.http://www.carstenpeter.com/index_en.php
A droite OVG à Goma, institution publique de l’Etat Congolais, élevée récemment au niveau d’un Centre scientifique,OVG ex IRSAC(Institut deRecherche scientifique enAfrique Centrale) fondé en 1947.
OVG est une branche de la section de Volcanologie dans le Département
de Géophysique du centre de Recherche en Sciences Naturelles (CRSN) à Lwiro Bukavu,en 2009,l'observatoire fut élevé au rang de recherches scientifique séismologie,géodésie,,inclinométrie,la géochimie.
Une
équipe franco-suisse de scientifiques étudie la composition
physico-chimique du lac, de son évolution à travers le temps, l'origine
des gaz dissous et une évaluation du risque d'une explosion de gaz.
La formation de méthane du Kivu semble être le résultat de deux actions simultanées: -La première raison de la fermentation des sédiments biogènes -La deuxième raison de la réduction des émissions de CO2 magmatique par des bactéries
Les eaux du lac Kivu présentent une structure stratifiée " en escalier "
particulièrement évidente au vu des variations de ses paramètres
physico-chimiques avec la profondeur. Son gaz constitue également un risque d'explosion cataclysmique, comme cela s'est produit au Cameroun au lac Nyos. L'Environnement
de données de l'entreprise a mis en place une station pilote
d'extraction du méthane à des fins énergétiques et a proposé la
promotion de ce gaz pour diverses applications. Le Voisin de la RDC le Rwanda a récemment trouvé 55 milliards de
mètres cubes de gaz méthane dissous à une profondeur de 300 mètres du Lac. L'extraction
du gaz se fait actuellement sur une petite échelle, avec le gaz
extrait utilisé pour exécuter les chaudières à une brasserie. En
ce qui concerne l'exploitation à grande échelle de cette ressource , le gouvernement rwandais a signé un accord de 80 millions de
dollars avec un consortium franco Suisse international pour produire du méthane du
lac. Extraction
est dit être extrêmement rentable et simple car une fois que l'eau
riche en gaz pompé les gaz dissous (principalement du dioxyde de
carbone, le sulfure d'hydrogène et de méthane) commence à faire des
bulles comme la pression d'eau est faible. Ce
projet est prévu d'augmenter la capacité de production d'énergie du
Rwanda de20 fois et lui permettra de vendre de
l'électricité aux pays africains voisins. Ce lac donc est unique: ses eaux profondes contiennent une énorme quantité de gaz dissous. Il
ya, en fait, 65 milliards de mètres cubes de méthane, en d'autres
termes l'équivalent de 50 millions de tonnes de pétrole (tep) se
trouvant au fond du lac sous 250 m d'eau.
L'explication précise de ce
phénomène de stratification est complexe. Les eaux du lac se
caractérisent par des couches homogènes - où le mixage par connexion se
fait facilement - séparées par des couches à haut gradient de densité
qui jouent le rôle de barrière au processus de mélange
La Modèle simplifié prenant en compte deux modes parallèles de formation du méthane dans le lac Kivu (K. Tietze, 1974 - 75 figure de K. Tietze présente un modèle dé egenèse du gaz méthane.
La
Société Data Environnement a mis au point une station pilote d'extraction du méthane à des fins énergétiques et proposé
la valorisation au Rwanda de ce gaz pour diverses applications. L'auto-siphon
est le phénomène de formation de bulles de gaz dans un liquide parvenu
à saturation. La limite de saturation d'un gaz dans un liquide dépend
de deux facteurs qui sont la quantité totale de gaz dissout et la pression
du liquide (c'est-à-dire la profondeur dans le cas d'un lac).La
formation de bulles peut se produire soit en augmentant la quantité de
gaz dissout dans l'eau soit en diminuant la pression (c'est-à-dire la profondeur).
Si l'une de ces deux conditions est remplie, et si la courbe de saturation est
atteinte, il se forme alors dans l'eau de petites bulles de gaz qui vont remonter
vers la surface.
Ces petites bulles entraînent vers le haut du liquide
déjà sursaturé en gaz.De nouvelles bulles apparaissent au
sein de ce liquide. Au cours de leur ascension, la taille des bulles augmente.
Une réaction en chaîne est amorcée.
L'ex-solution, une fois
enclenchée, va se développer rapidement par un processus en avalanche. Si
le phénomène n'est pas contrôlé, il se produit à
la surface du liquide une véritable explosion d'une émulsion d'eau
et de gaz.C'est exactement ce phénomène qui peut être observé
lorsqu'on débouche une bouteille de champagne ou de limonade : en faisant
chuter la pression à l'intérieur de la bouteille les bulles du gaz
qui était dissout se forment brutalement et remontent à la surface
en entraînant le liquide.
C'est aussi, à grande échelle,
le phénomène qui a produit la catastrophe du lac Nyos (Cameroun)
en1986. Dans les eaux profondes du lac, la limite
de saturation s'est trouvée dépassée, le processus d'ex-solution
s'est amorcé et s'est développé dans l'ensemble des eaux
du lac par une réaction en chaîne.
Une explosion gazeuse a projeté
dans les airs une colonne d'eau à une hauteur dépassant 80 m. Il
y a eu retournement violent de l'ensemble des eaux du lac. L'énorme
quantité de gaz carbonique libéré, étant plus dense
que l'air, a ensuite " coulé " dans les vallées avoisinantes
en asphyxiant toute forme de vie jusqu'à 30 km du lac. 1800 personnes on ainsi péri du fait de cette catastrophe.
.
La station du cap Rubona
L'Union Chimique Belge, suite à des recherches effectuées durant
plusieurs missions s'échelonnant de 1953 à 1962, a mis en service
en 1963 une station d'extraction du gaz du lac Kivu au cap Rubona à 8 km
au sud-ouest de Gisenyi.e fonctionnement de cette installation est basé
sur le principe de l'auto-pompage. La prise d'eau de captage s'effectue à
une profondeur d'environ 300 m au moyen de deux colonnes de 300 mm de diamètre
déposées à même le talus sublacustre. Ces colonnes
ont une longueur d'environ 850 m et débouchent à la base du séparateur
selon un angle de 40 ° environ, légèrement sous les eaux du
lac. Les eaux dégazées sont rejetées directement à
la surface du lac et le gaz est injecté à la base de deux colonnes
de lavage permettant de multiplier par trois la teneur en méthane du gaz.
Le gaz enrichi est ensuite comprimé puis transporté par gazoduc
sur environ 3 km vers les chaudières de la brasserie Bralirwa
Cette
centrale fonctionne correctement depuis une quarantaine d'années mais plusieurs
défauts majeurs sont à remarquer : - Le gaz brut passe par une
soufflante pour être injecté dans la première colonne de lavage.
Du fait de la présence d'une forte concentration de H2S, la formation d'acide
sulfurique réduit considérablement le temps de vie des moteurs. - Le positionnement libre des tuyaux de captage sur le sol a plusieurs fois amené
d'importantes détériorations consécutives aux frottements
sur le sol. - La position oblique des colonnes de captage ainsi que l'angle
de 40 ° formé avec le séparateur sont à l'origine de
pertes de charges importantes qui font chuter le rendement intrinsèque
du système, - Le système dans son ensemble étant situé
au niveau du lac, les volumes de gaz à traiter sont importants et la machinerie
de transport de ces gaz conséquente. Ces défauts ont amené
dès 1977 l'UCB à réaliser de manière récurrente
des travaux de maintenance coûteux sans lesquels le rendement de la station
chute considérablement.
Comparatif des techniques Schéma
d'ensemble de la station La colonne d'extraction
Le lavage du gaz L'instrumentation
de la colonne Mise en place de la colonne
Objectifs et rendements Contrat
Union Européenne : mission de novembre 2002
Nyiragongo Volcano and the Volcanic Observatory of Goma, TVEAPfilms
Les civils sont victimes d’attaques de groupes armés ainsi que des affrontements intercommunautaires. Les attaques sont généralement brutales et incluent des meurtres, mutilations et viols. La plupart est signalée dans le Nord - Kivu et Sud-Kivu et l’Ituri, Tanganyika, Haut-Katanga, Haut-Lomami.
Au Katanga Plus d’un million deux cent mille personnes vivant au Katanga sont touchées par l’insécurité alimentaire aigüe depuis le début de cette année.
Ces chiffres représentent 10% de la population rurale de cette province, selon une enquête menée par la FAO. Les conclusions de cette enquête ont été publiées la semaine dernière dans le bulletin hebdomadaire d’informations du bureau de Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (Ocha)
Chronique réalisée par Luc de l'Arbre.2013
Le Projet FAO-Dimitra travaille avec les femmes rurales au Katanga.
Réalisé en 2010 par le Vicanos-Club pour le projet FAO-Dimitra, avec le soutien financier de la Fondation Roi Baudouin. Il parle de la situation des femmes rurales au Katanga (RDC) et du travail de FAO-Dimitra et de son partenaire le REFED-Katanga dans la province pour donner une voix aux femmes rurales et ainsi améliorer leur situation et leur sécurité alimentaire.
Avec la FAO, creations de CLUBS découte qui existent déja dans la région du Kivu
Août 2013,
A Isangi, Province Orientale de la RD Congo s'est tenu un premier Forum des Clubs d’écoute communautaires Dimitra du District de la Tshopo récemment dans le cadre du projet « Clubs d’écoute, lutte contre la pauvreté, sécurité alimentaire et genre». Ce projet est exécuté depuis un an par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), sur un financement du Gouvernement de la RD Congo et du Fonds international de développement agricole (FIDA).
Le Forum d’Isangi a permis de mettre en lumière les résultats du projet, depuis la forte implication des communautés, en particulier des femmes, jusqu’à ceux liés à l’impact du projet mis en œuvre dans cette région particulièrement enclavée.
FAO: Food and Agriculture Organization of the United Nations, for a world without hunger
Le Projet FAO-Dimitra travaille avec les femmes rurales au Katanga
L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) organisa donc ce premier Forum des clubs d’écoute communautaires Dimitra du District de la Tshopo, à Isangi (Province Orientale), en août 2013. Avec la FAO, collabore aussi d'autres organismes; ONU Femmes , FIDA,Le Fonds international de développement agricole, PNUD émancipation des femmes ,et bien d'autres...
La FAO prévoit des marchés de produits alimentaires de base plus équilibrés en 2013-2014.
Un agriculteur arrose des champs à Lubumbachi, en République démocratique du Congo (RDC).
Photo: FAO/Olivier Asselin
Description Zones agricoles:
Centre Sud ;
Relief: collines, plateaux. L’altitude moyenne varie entre 500 à 1,000 m.
Climat: équatorial
La pluviométrie varie de 1,500 à 2,000 mm.
Les extrêmes moyens de température sont compris entre 10,74°et 30,34°C.
Sols: en général de type kaolisols.
Végétation: forêt dense humide sempervirente, forêt dense semi-décidue et savane. Kasaï occidental, Kasaï oriental
Utilisation des engrais chimiques et organiques; pratique de la jachère par
endroits; utilisation d’une importante main d’œuvre; recours aux semences améliorées et pesticides ; assolement et rotation des cultures ; incinération. Cuvette centrale
Relief: plaines avec dénivellations. L’altitude varie entre 320 et 600 m. Climat: trois types de climat: Sols: en général limo-argileux, sableux, sablo-argileux et argilo-sableux. Végétation: forêts ombrophiles sempervirentes. Equateur,
Province Orientale Utilisation des semences améliorées, engrais chimiques et organiques ; assolement et rotation des cultures; utilisation d'une importante main d'œuvre pour les opérations culturales. Incinération.
Est Relief: chaînes des montagnes, vallées. L’altitude varie entre 700 et 3,000 m avec certains sommets des montagnes atteignant 5,000 m.
Climat: hétérogène.
Les précipitations moyennes annuelles varient de 800 à 2,000 mm.
La température moyenne annuelle oscille entre 15 et 23°C.
Sols: ils sont de type volcanique, plaines alluviales, dérivés de roches anciennes. Végétation: variée avec prédominance de savanes, steppes, forêts équatoriales de basse altitude et de montagnes, forêts des bambous à haute altitude.
Nord Kivu ; Sud Kivu; Maniema ; Province orientale Généralisation du recours aux semences, engrais chimiques et organiques ainsi qu’aux pesticides; assolement et rotation des cultures ; incinération ; utilisation d’une importante main d’œuvre ; traction animale. Nord Relief: plaines. Altitude varie entre 300 et 500 m. Climat: Aw3. Sols: à prédominance argileuse et latéritique. Végétation: galeries forestières, savanes boiseuses
.
Equateur (Nord) ; Province orientale (Nord et Nord-Est) Recours par endroit à la pratique de jachère; semences améliorées, engrais organiques et chimiques; incinération; utilisation d'une importante main d'œuvre pour les opérations culturales.
Sud Est
Relief: Katanga Sud-est: Montagnes, plateaux, failles.
L’altitude varie entre 1,100 et 1 700 m.
Katanga Est: Collines, plateaux. L’altitude est de 2,000 m.
Climat: Tropical humide saison pluie et Tempéré chaud saison seche.
Les précipitations moyennes annuelles varient de 145.8 à 1,546.8 mm.
Sol: de façon générale, les sols sont du type latosol rouge et ocre.
Végétation: deux zones de végétation à savoir la zone guinéenne (forêts denses dans les vallées et la savane) et (forêts et formations herbeuses). Katanga Mécanisation des opérations culturales et utilisation de la traction animale; recours à la jachère ; assolement et rotation des cultures ; irrigation (riz, …) ; incinération- traction animale ; recours au chaulage ; recours aux semences améliorées, pesticides, engrais chimiques et organiques.
Sud Ouest
Relief: Montagnes, vallées, plateaux. L’altitude varie entre 0 et 800 m. Climat: deux zones climatiques, l’Equatoriale et la Tropicale
. Les précipitations varient entre 1,200 et 2,000 mm par an et la température moyenne va de 14°C (Bas-Congo) à 25°C (Bandundu et Kinshasa).
Sols: types sablonneux, argilo-sablonneux et limo-sablonneux.
Végétation: évolue des mangroves (littoral) et passe par les forêts, la savane et les steppes.
Kinshasa, Bandundu, Bas-Congo Recours aux engrais chimiques et organiques; mécanisation des opérations culturales pour les grandes exploitations (manioc et maïs, …) et une importante main d’œuvre et traction animale pour les petites exploitations; utilisation des pesticides; généralisation du recours aux semences améliorées (Kinshasa, Bas Congo et Katanga,… ; irrigation (riz) ; pratique de la jachère par endroits; assolement et rotation des cultures.
Incinération; chaulage.
Photos CARE sécurité alimentaire.
RDC - Des femmes vendent des bananes - un des seuls produits alimentaires actuellement disponible - dans la rue de Goma. Kate Holt / CARE
Autres problémes des femmes:viol a été utilisé par les fonctionnaires de l’Etat pour punir les femmes actives politiquement à Kinshasa et dans tout le pays. Violations graves des droits de l’homme par la police, y compris les exécutions extrajudiciaires et disparitions forcées, sont également signalées. Des groupes armés ainsi que des membres des FARDC utilisent le viol comme arme de guerre pour punir des civils appartenant à un groupe ethnique particulier, ou ceux qu’ils accusent de soutenir l’ennemi. Les victimes, les femmes de la majorité (73 %) et les enfants (25 %), souvent expérience viol accompagné d’autres atrocités telles que les mutilations, la participation forcée des membres de la famille dans le viol, le viol et l’esclavage sexuel. On estime qu’entre 1,69 et 1,8 millions de femmes sont violées au cours de leur vie et entre 3.07 et 3,7 millions sont maltraités par un partenaire. La violence sexuelle dans les communautés et les foyers est moins grave mais plus fréquente que les violences sexuelles liées au conflit. La mutilation génitale féminine n’est pas largement pratiquée et interdite par la Loi. En 2007, la prévalence a été estimée à moins de 5 %, avec cas signalés dans le Nord-Kivu, Kasaï, les anciennes provinces du Katanga et dans les zones rurales de la région de Kinshasa NB: Détenus vivent dans des conditions déplorables, n’ayant pas accès à suffisamment nourriture, soins de santé ni installations sanitaires. Beaucoup n’ont pas accès à l’assistance judiciaire. 10 % des décès dans les centres de détention entre 2010 et 2012 ont été attribués à des mauvais traitements et la torture. Entre janvier et septembre 2015, 649 personnes ont été détenues arbitrairement et souvent refuser l’accès à leurs familles et leurs avocats